L'amour mélanco

La religion athéïste

La disparition poétique

L'amour asexué

Le blues d'une Jazzwoman

L'apparence est d'or

La mort choisie d'un ange

TEXTES D'INSPIRATION MALDORORIENNE

Le dernier cri du râle précédant la fin,
les douleurs pâles saissisants les embruns.

La peur et l'effroi d'envisager la blancheur,
le grand désarroi de cette vision d'horreur.

On a peur de l'inconnu, de nos distendus sentiments,
dont la majorité incongrues mais involontairement.

Plus d'apparat, plus d'apparences,
que d'embarras sans aucunes figurances.

L'esprit des proches torturé par cette vision,
en plein dans la caboche des vieux larons.

Au revoir triste vie, bonjour sombre cauchemar,
l'ennui pour l'infinni sans aucunes lueurs d'espoir.

Le compteur de la vie révélant le nombre de tués
sans dévoiler les motifs de ces actes péroxydés.

Grand moment de souffrance et de solitude et de solitude,
en mal d'espérance comme par habitude.

Les pleurs enfermés pour l'éternité
dans une enveloppe fermée et cachetée.

L'âme voilée envolée vers d'autres cieux,
prisonnier par les spiritueux religieux.

La disparition en poésie, l'envolement à jamais...